Pain végétal et sa sauce miso/tournesol.

Pain végétal et sa sauce miso/tournesol.

Ingrédients pour 6 à 8 personnes

  • 3 carottes moyennes
  • 1 courgette moyenne ou 2 petites
  • 100g de graines de courge
  • 100g de graines de tournesol
  • 150g de champignons
  • 1 càs de tamari ou miso
  • 3 càs d’huile d’olive
  • 1 poignée de persil
  • 1 poignée de ciboulette
  • 1 gousse d’ail

Le matin ou la veille:

  • Faire tremper les graines de courge et tournesol dans un verre d’eau
  • Déshydrater ou faire sécher les champignons en tranches au four

Liant:

Mixer fort
-la moitié des graines de courge et de tournesol rincées
-le persil
-la ciboulette
– le miso
– les champignons déshydratés
– l’huile d’olive
– la gousse d’ail
+ 20cl d’eau

Dans un autre bol mettre les carottes, courgettes réduites en charpie et l’autre moitié des graines de courges rincées et y incorporer le liant et bien mélanger

Former un pain de végétal avec les mains sur une plaque et le mettre soit au four 1h à 100degrés ou 12h au déshydrateur.
Il peut être consommé cru également – laisser fermenter 5h à température ambiante puis mettre au frais pendant la nuit et consommer le lendemain.

Pour la sauce :

  • 100g de graines de tournesol trempées le matin ou la veille
  • 1 cuillères à soupe de miso
  • 2 cuillères à soupe de lait de coco

Tout mixer jusqu’à obtenir une crème

Idéalement à accompagner d’une salade de légumes frais (poivrons, carottes et concombres à la mandoline pour la couleur) et d’herbes.  Ou, en hiver, plus consistant et réconfortant avec des patates douces cuites basse température ou le riz de chou-fleur (ou mélange chou-fleur et patates douces à peine revenues dans un peu d’huile).

Faut-il éviter les fruits, si on est (pré-)diabétique ?

Faut-il éviter les fruits, si on est (pré-)diabétique ?

La consommation régulière de fruits et de légumes, sources de fibres, vitamines et antioxydants, est généralement associée à une meilleure santé. Il plane cependant un doute concernant les fruits, suspectés d’élever exagérément la glycémie, en particulier chez les personnes sujettes au diabète.

Une étude de l’Université d’Oxford sur l’origine des troubles métaboliques, menée pendant 7 ans auprès de 500.000 personnes, a apporté un éclairage à ce sujet.

Les chercheurs ont d’emblée constaté qu’il y avait 3 fois plus de diabétiques parmi les non-consommateurs de fruits. A son terme, l’étude a montré que la consommation quotidienne de fruits frais, par rapport à une consommation faible ou nulle, réduisait le risque de diabète de 12%. De plus, chez les diabétiques, une consommation élevée de fruits frais était associée à un risque plus faible de mortalité de toutes causes (-17%) et de complications cardiovasculaires.

Même si ces données ne doivent pas justifier une consommation démesurée de fruits frais, elles montrent qu’ils ont leur place dans une alimentation équilibrée, même en cas de diabète. Ils peuvent même être consommés au petit déjeuner, à condition de les choisir peu sucrés (les fruits exotiques ou séchés sont plus concentrés en sucre), et de les manger entiers (jamais en jus). En outre, il est judicieux de les associer à des oléagineux (noix, graines…) et/ou du yogourt végétal, sources de protéines végétales, fibres et bonnes graisses, qui contribueront à limiter encore leur impact sur la glycémie.

Ref: DU H. et al., PLOS Medicine, April 11, 2017.

Hélène Wacquier
linving-nutrition.be

La transplantation de microbiote fécal : pas glamour, mais prometteur 

La transplantation de microbiote fécal : pas glamour, mais prometteur 

La recherche progresse dans le décryptage du microbiote intestinal et dans la compréhension de l’enjeu extraordinaire qu’il représente pour notre santé.

Selon les dernières études, nous abritons près de 40.000 milliards de bactéries, virus et champignons « amis », qui se concentrent au niveau de la peau, de la bouche, du vagin, mais surtout dans l’intestin. En symbiose avec notre organisme, ils exercent des fonctions primordiales, notamment métaboliques (dégradation de substrats non digérés, assimilation de nutriments et sécrétion de vitamines…), immunitaires (maturation des globules blancs) et neurologiques (sécrétion de neurotransmetteurs).

Chaque personne a une identité microbiotique unique qui se forge au cours des premières années de vie et reste ensuite relativement stable. Elle peut cependant subir des modifications en fonction du mode alimentaire, de variations hormonales, de traitements médicaux ou des conditions de l’environnement. L’altération qualitative et/ou quantitative durable de la composition du microbiote (dysbiose intestinale) est l’une des principales causes des maladies métaboliques, inflammatoires et auto-immunes ainsi que de divers troubles neuropsychiatriques. D’où l’idée d’un traitement par transplantation de microbiote fécal. I consiste à introduire, par lavement ou sonde nasogastrique, les selles d’un donneur sain dans le tube digestif d’un individu malade pour rééquilibrer son microbiote. Si cette perspective n’a rien de glamour, elle apparaît toutefois très prometteuse.

Des perspectives très prometteuses à court ou moyen terme

A l’heure actuelle, La transplantation de microbiote fécal est déjà couramment pratiquée, avec 90% de succès, dans le traitement de diarrhées infectieuses liées au clostridium difficile, une bactérie antibiorésistante.

En 2017, en France, elle a également été testée sur l’homme pour le traitement de maladies inflammatoires de l’intestin telles que la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, avec de premiers résultats encourageants.

Des espoirs sont également permis pour le traitement de l’obésité, un lien ayant été prouvé scientifiquement entre la composition du microbiote et la prise de poids pathologique.

A terme, des maladies neurologiques telles que la schizophrénie, l’autisme, la sclérose en plaque, Parkinson et Alzheimer pourraient également être traitées par la transplantation de microbiote fécal, la recherche ayant montré que certaines combinaisons de bactéries affectent le fonctionnement des cellules nerveuses.

Dans un futur proche, grâce aux nouvelles techniques de séquençage haut débit du matériel génétique, chacun pourrait bien avoir sa carte d’identité microbiotique. Celle-ci permettrait de développer des stratégies personnalisées, aussi bien préventives que curatives, dans lesquelles le rééquilibrage du microbiote serait spécifiquement adapté au profil et prédispositions du patient.

Hélène Wacquier
Nutrithérapeute
living-nutrition.be  

Notre cure principale : le Jeûne Buchinger

Notre cure principale : le Jeûne Buchinger

Le jeûne, comme le sommeil, permet à l’inconscient de faire un grand ménage de l’organisme. Chaque système – immunitaire, rénal, respiratoire, cardio-vasculaire, nerveux, lymphatique, intestinal – se remet d’aplomb. Chaque sens – l’odorat, la vue, l’ouïe, le toucher, le goût – récupère son acuité. 

Le jeûne apporte une détoxination du corps en profondeur, un regain de vitalité et une vision plus claire de la vie. Il va stimuler en quelque sorte cette intelligence cellulaire et biologique qui va gérer notre santé, bien mieux que ne le feraient notre raison et notre intellect. 

Vous découvrirez le plaisir de vivre une semaine en groupe, en y trouvant les conditions idéales qu’offrent les contacts stimulants d’un milieu où règne la force de l’exemple, la gaieté et l’humour.

NOS PROCHAINES DATES

LA CURE DETOX VEGETALE

LA CURE DETOX VEGETALE

Échappez-vous quelques jours pour une cure de détoxination enchanteresse!

Composée essentiellement de fruits et légumes frais bio nos recettes sont spécialement conçues pour rééquilibrer le PH du corps, apporter des vitamines variées à l’organisme et détoxiner le foie.

Que ce soit pendant les ateliers cuisine, les conférences thématiques ou les repas, chaque moment sera propice à de nouveaux apprentissages sur les bienfaits que contiennent les végétaux, l’étendue de leurs possibilités culinaires et leur infinie gourmandise.

 Jetez vous a pieds joints dans la frugalité délicieuse!

Au menu : une farandole de végétaux crus, décrudis, cuits à basse température ou à la vapeur douce afin de préserver leur qualité nutritionnelle.

Organisée plusieurs fois par an à la Maison de Sania, vous trouverez les dates dans le calendrier.

Peut-on se fier au Nutriscore ?

Peut-on se fier au Nutriscore ?

Même si le Nutriscore peut globalement aider les consommateurs dans leurs choix, il est à considérer avec réserve. Son principal défaut est d’être axé sur les aspects quantitatifs (somme de nutriments) plutôt que qualitatifs des produits. De ce fait, des critères potentiellement importants pour la santé sont ignorés.

Qualité des nutriments
Le Nutriscore ne distingue pas les glucides à haute valeur nutritionnelle de ceux qui n’apportent que des calories « vides ».  Les graisses, hormis leur caractère saturé ou non, sont également appréhendées sans discernement. La présence éventuelle d’acide gras trans, très délétères, est ignorée. De même, aucune distinction n’est faite entre les protéines animales et végétales, ni entre des protéines de qualité et des protéines possiblement dénaturées par les processus de fabrication. Par ailleurs, la teneur en vitamines, minéraux, polyphénols n’intervient pas dans l’équation, malgré leur importance pour la santé.

Transformation des produits
Le degré de transformation des produits n’est pas considéré, ni la présence éventuelle d’additifs, d’allergènes, d’arômes et d’édulcorants artificiels. Or, la consommation habituelle de produits ultra-transformés joue un rôle majeur dans l’épidémie actuelle d’obésité et de diabète. La présence éventuelle de contaminants tels que des pesticides ou des perturbateurs endocriniens est aussi ignorée.

Equilibre alimentaire
Le système ne rend pas compte du nécessaire équilibre alimentaire global. Nous avons besoin, au quotidien, de nutriments naturels de tous types. Tout est une question d’équilibre. Des produits comme l’huile d’olive ou le chocolat, bien que très riches en graisses, s’inscrivent parfaitement dans une alimentation équilibrée s’ils sont consommés dans de justes proportions.
La pyramide alimentaire reste le meilleur guide pour savoir quels aliments consommer en priorité pour une santé optimale. A mon sens, aucun outil ne pourra jamais remplacer l’intelligence et le discernement humains.
Pour se donner les meilleures chances d’être en bonne santé, il est nécessaire de s’informer et de garder un esprit critique acéré par rapport aux produits sur le marché. Il faut continuer à éplucher les étiquettes et éviter les produits qui sont faits de multiples ingrédients qu’on ne pourrait pas trouver dans sa propre cuisine. Cela demande un investissement personnel, mais c’est en devenant des consom’acteurs et en faisant des choix judicieux qu’on pourra influencer peu à peu l’offre de produits dans le sens d’une meilleure qualité nutritionnelle globale.

Hélène Wacquier
Nutrithérapeute
living-nutrition.be  

NOUVEAUTÉ CURE MACROBIOTIQUE

NOUVEAUTÉ CURE MACROBIOTIQUE

Venez découvrir les secrets d’une régénération hors du commun. 

Les spécialistes du CIMO (Centre International de Macrobiotique Oshawa) et La Maison de Sania s’associent pour vous initier à une cure particulière et puissante.Au travers d’ateliers de cuisine ludiques (sélection des aliments, découpe et préparation), conférences et causeries, vous pourrez comprendre la philosophie et les bienfaits de la Macrobiotique.

Basé sur le principe extrême-oriental d’équilibre global entre le yin et le yang, dont l’alimentation est le premier vecteur, la Macrobiotique considère l’individu dans sa globalité : corps-esprit-environnement.L’énergie du yang est masculine, puissante, énergique.

C’est celle de la lumière, de la chaleur, de l’action, de l’agressivité et de l’inflexibité.L’énergie du yin est féminine, douce, flexible. Elle est celle de la nuit, de l’intuition, du silence, du froid, de la tranquillité.

Au terme du stage vous pourrez identifier les aliments Ying et Yang et les combiner pour trouver la voie du milieu, l’équilibre. 

Cette cure est un régime idéal pour les personnes actives et sportives qui souhaitent se régénérer et retrouver la vitalité et la stabilité car il s’agit d’une méthode judicieuse qui va répondre aux besoins essentiels de l’organisme sans le carencer ni l’oxyder.

Yoga et balades guidées seront également offerts lors du stage dans le cadre verdoyant et enchanteur de La Maison de Sania. Des soins (massages ayurvédiques, réflexologie plantaire…) seront optionnels.       

Du 29 janvier au 1er février 2024

(arrivée lundi 9h, départ jeudi 16h)

 

INSCRIPTION

  La maison de Sania  Michèle Thorheim 

michele.thorheim@gmail.com

tél/ +32(O)472 96 72 14

 PRIX

540 euros par personne en dortoir

590 euros par personne en chambre duo

720 euros en chambre privée

Smoothie tout mauve…

Smoothie tout mauve…

La Maison de Sania, en collaboration avec COOK & PEPS by Marielle, vous propose de délicieuses recettes!

Smoothie aux mûres fraîchement cueillies
Pour un verre de 250 ml :

150 ml de lait végétal, ½ banane, 1 càc de graines de lin trempées la veille, .¼ de pouce de gingembre, 1 càs de jus de citron, 2 belles poignées de mûres, 4 feuilles de menthe, 1 càc d’huile de sésame.

Versez tous les ingrédients dans le bol du blender et mixez quelques secondes.

Versez dans un grand verre et décorez de quelques baies de goji.

Bonne Santé

L’orthorexie: Quand manger “sain” devient une obsession!

L’orthorexie: Quand manger “sain” devient une obsession!

Depuis les nombreux scandales alimentaires, les articles de presse et émissions télévisées abordant les liens entre alimentation et santé foisonnent. On y voit ou entend des informations parfois contradictoires sur ce qui est sain ou potentiellement nocif pour la santé. Dans ce brouillard, certaines personnes se trouvent démunies, ne sachant plus à quel saint se vouer : Le poisson n’est-il pas systématiquement contaminé par les métaux lourds ? Les produits laitiers sont-ils des poisons ? Les fruits et légumes bios le sont-ils vraiment ? Ne faut-il pas éviter le gluten même si on n’y est pas intolérant?

S’il est louable de s’informer et d’essayer de faire les meilleurs choix alimentaires pour sa santé, il arrive, chez certaines personnes, que cela tourne à l’idée fixe. Cette obsession de se nourrir sainement s’appelle l’orthorexie. Elle peut être considérée comme un véritable trouble du comportement alimentaire au même titre que l’anorexie et la boulimie, l’obsession portant ici sur la qualité des aliments plutôt que sur la quantité.

Les personnes atteintes d’orthorexie n’ont plus de relation naturelle à la nourriture. S’alimenter rime avec anxiété, culpabilité et frustrations. Elles ne se sentent apaisées que lorsqu’elles ont mangé un repas jugé sain selon les critères très restrictifs qu’elles s’imposent.

Cela les amène souvent à renoncer à leurs mets préférés, si elles considèrent qu’ils ne sont pas suffisamment sains. La variété d’aliments consommés diminue progressivement. Des familles entières d’aliments sont parfois écartées de manière irrationnelle. Il s’ensuit des risques de carences pouvant affecter de nombreuses sphères de la santé (déminéralisation, dérèglement du système hormonal, troubles du sommeil…)

Les orthorexiques passent des heures à réfléchir à leur alimentation et à composer des menus à l’avance. Leur obsession d’une nourriture saine devient centrale au détriment du plaisir de manger. Elles finissent par refuser de manger des aliments préparés par d’autres et à fuir les repas familiaux ou entre amis. Isolement social, anxiété, dépression, baisse d’estime de soi peuvent s’ensuivre.

Que faire face à ce trouble ?

L’un des premiers pas vers le mieux-être est de prendre conscience du problème. L’important est ensuite de se faire accompagner par un psychologue spécialisé dans les troubles du comportement alimentaire, en association avec un nutritionniste, afin de travailler sur le lâcher prise par rapport à ce désir irrationnel de perfection et de replacer progressivement le plaisir au centre de l’alimentation.

Nul besoin d’avoir une alimentation parfaite pour être en bonne santé. Une alimentation généralement saine, variée et équilibrée, réalisée à partir de produits bruts suffit. Nos corps sont en mesure de gérer des écarts et même une part de malbouffe, pour autant bien sûr qu’ils ne constituent pas la règle.

S’il est judicieux d’être attentif à la qualité de son alimentation, de nombreux autres facteurs entrent en jeu pour une santé optimale et, notamment, la sérénité, le lien social et le plaisir de la table, qui sont fondamentaux mais tellement mis à mal dans l’orthorexie.

Hélène Wacquier
Nutrithérapeute
living-nutrition.be

Le Kéfir de fruits : l’eau vertueuse

Le Kéfir de fruits : l’eau vertueuse

Le kéfir de fruits (ou kéfir d’eau) est une boisson fermentée riche en probiotiques. Il est préparé à partir de grains de kéfir spécifiques à l’eau (différents des grains du kéfir de lait), constitués d’un ensemble de levures et de bactéries symbiotiques qui se nourrissent des sucres présents dans l’eau sucrée ou le jus de fruits.

Pendant la fermentation, les grains de kéfir consomment les sucres et produisent du dioxyde de carbone, un peu d’éthanol et divers acides organiques, ce qui donne au kéfir de fruits son goût pétillant et légèrement acide.

Pour préparer du kéfir de fruits, vous aurez besoin de grains de kéfir de fruits, d’eau sucrée ou de jus de fruits non chloré et d’un bocal en verre. Les grains de kéfir de fruits sont ajoutés à l’eau sucrée ou au jus de fruits, puis le mélange est laissé à fermenter à température ambiante pendant 24 à 48 heures. Pendant cette période, les grains de kéfir de fruits se nourrissent des sucres et transforment le liquide en kéfir de fruits fermenté.

Une fois la fermentation terminée, les grains de kéfir sont retirés du liquide et peuvent être réutilisés pour préparer une nouvelle fournée. Le kéfir de fruits peut être consommé tel quel ou être aromatisé avec des fruits frais, des herbes (menthe, basilic verveine odorante…), des fleurs (sureau, lavande) ou des épices (curcuma, gingembre…) selon les goûts personnels.

Le kéfir de fruits est apprécié pour sa teneur élevée en probiotiques, très bénéfiques pour la santé intestinale et le système immunitaire. Il est également une bonne source de vitamines B, de vitamine K et de divers minéraux. Il est important de noter qu’il contient une toute petite quantité d’alcool en raison de la fermentation, bien que la teneur soit généralement inférieure à 1 %.

Comme pour toute préparation fermentée, il est recommandé de suivre des pratiques d’hygiène appropriées lors de la manipulation des grains de kéfir et de veiller à ce que les ustensiles utilisés soient propres pour éviter toute contamination indésirable.

Ma recette de kéfir :

Dans un bocal en verre, par litre:

  • 20 g de grains de kéfir
  • 30 g de sucre de canne roux bio
  • 1 citron bio (jaune ou vert) pressé (+ un morceau de peau)
  • gingembre coupé en tranches à la mandoline
  • Menthe du jardin (ou autre herbe ou fleur)(dans sachet à infusion)
  • 1 figue sèche

Couvrir le tout d’eau non chlorée et couvrir le bocal sans fermer hermétiquement.

Laisser à température ambiante entre 24 et 36h (selon t° de la pièce)

Filtrer et mettre en bouteille hermétiquement fermée.

Laisser encore 24 à 36h à t° ambiante

Réfrigérer – Se régaler 😉 !

Hélène Wacquier
Nutrithérapeute
Living-nutrition.be